Îles Salomon
En franchissant la porte de l’avion, je retrouve la chaleur moite de l’équateur.
L’aéroport, de la taille d’un grand hangar, est évidemment international…
Je traîne un peu sur le tarmac pour faire des photos de la sortie des bagages de la soute, ce qui fait rire les employés mais qui m’aurait coûté une interpellation ailleurs et la confiscation
de mon appareil !
L’avion n’était pas plein, mais les deux files d’attente aux guichets de l’immigration ne se résorbent pas vite. La chaleur doit ralentir les gestes car quand je montre à l’officier l’endroit où j’aimerais qu’il appose son tampon sur mon passeport, j’ai l’impression qu’il soulève une tonne !
Au bout d’une heure, je sors enfin de l’aéroport et j’aperçois une pancarte sur laquelle est écrit mon prénom.
Véronica m'attendait.
Honiara, Îles Salomon
25 mars 2013