Otavalo
Tôt le matin, les bleus sont encore pastels, les animaux peu exotiques, les Otavalos
bien présents.
Quelques heures plus tard, la Place des Ponchos est forcément plus colorée, plus contrastée; il y fait une chaleur épouvantable au milieu des tapis de laine suspendus au soleil qui reprend son service à cette heure-là.
À la différence d'autres peuples des Andes, les Otavalos se distinguent par leurs costumes plus légers, leurs sandales de toile et les rangées de perles qui entourent le cou des femmes et leurs poignets.
Ils dégagent un charme que je n’avais pas encore rencontré dans les pays andins.
Otavalo, Équateur,
juillet 1995
Le tissage de la laine pour les Otavalos est un savoir-faire ancestral.
Ils tissent aussi des fibres végétales pour faire des sacs de jute et les semelles de leurs sandales.
Otavalo, Équateur, 1995
Rencontre inattendue
de reproductions d'œuvres
d' Escher sur la
Place des Ponchos.
Otavalo, Équateur, 1995
Les chapeaux de feutre coloré sèchent sur
les trottoirs...
Otavalo, Équateur, 1995
... qui ne sont pas toujours assez larges, malgré une production encore artisanale.
Otavalo, Équateur, 1995
Des camaïeux de bleus pour confectionner
les costumes.
Otavalo, Équateur, 1995
Les colliers de perles dorées font partie des ornements de la tenue traditionnelle des femmes.
Otavalo, Équateur, 1995
Marché aux paniers.
Otavalo, Équateur, 1995
Marchande de sandales en feutre noir ou blanc, éléments du costume typique des Otavalos.
Otavalo, Équateur, 1995
Les grandes blouses brodées rappellent les huipils portés par les femmes au Guatemala.
Otavalo, Équateur, 1995
Retour du marché.
Otavalo, Équateur, 1995
Contrairement aux femmes des Andes,
les femmes Otavalos ne portent pas de chapeau, mais parfois une pièce de tissu en guise de turban.
Otavalo, Équateur, 1995
Le châle peut se porter sur la tête pour se protéger du soleil ou en bandoulière sur la poitrine.
Otavalo, Équateur, 1995
Sur des zones réduites de pâturage, les Otavalos pratiquent l'élevage des vaches, des moutons
et des cochons.
Otavalo, Équateur, 1995
Séchage de légumes sur des nattes de fibres végétales installées devant la maison ou parfois sur
les trottoirs.
Otavalo, Équateur, 1995
Confidences.
Otavalo, Équateur, 1995
Les vêtements traditionnels portés
par les Otavalos ne sont pas imprimés. Les larges bracelets aux poignets
des femmes sont en perles
de corail.
Otavalo, Équateur, 1995
-
Le tissage de la laine pour les Otavalos est un savoir-faire ancestral.
Ils tissent aussi des fibres végétales pour faire des sacs de jute et les semelles de leurs sandales.Otavalo, Équateur, 1995
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Rencontre inattendue
de reproductions d'œuvres
d' Escher sur la
Place des Ponchos.Otavalo, Équateur, 1995
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Les chapeaux de feutre coloré sèchent sur
les trottoirs...Otavalo, Équateur, 1995
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... qui ne sont pas toujours assez larges, malgré une production encore artisanale.
Otavalo, Équateur, 1995
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Des camaïeux de bleus pour confectionner
les costumes.Otavalo, Équateur, 1995
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Les colliers de perles dorées font partie des ornements de la tenue traditionnelle des femmes.
Otavalo, Équateur, 1995
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Marché aux paniers.
Otavalo, Équateur, 1995
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Marchande de sandales en feutre noir ou blanc, éléments du costume typique des Otavalos.
Otavalo, Équateur, 1995
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Les grandes blouses brodées rappellent les huipils portés par les femmes au Guatemala.
Otavalo, Équateur, 1995
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Retour du marché.
Otavalo, Équateur, 1995
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Contrairement aux femmes des Andes,
les femmes Otavalos ne portent pas de chapeau, mais parfois une pièce de tissu en guise de turban.Otavalo, Équateur, 1995
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Le châle peut se porter sur la tête pour se protéger du soleil ou en bandoulière sur la poitrine.
Otavalo, Équateur, 1995
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Sur des zones réduites de pâturage, les Otavalos pratiquent l'élevage des vaches, des moutons
et des cochons.Otavalo, Équateur, 1995
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Séchage de légumes sur des nattes de fibres végétales installées devant la maison ou parfois sur
les trottoirs.Otavalo, Équateur, 1995
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Confidences.
Otavalo, Équateur, 1995
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Les vêtements traditionnels portés
par les Otavalos ne sont pas imprimés. Les larges bracelets aux poignets
des femmes sont en perles
de corail.Otavalo, Équateur, 1995